Helen Lovejoy, toujours aussi... vertueuse

"Lisa Simpson!"
"Madame Lovejoy!"
Helen Lovejoy, la femme du révérend, était sans doute l'une des dernières personnes que Lisa avait envie de voir. La religion chrétienne et elle ne faisaient pas bon ménage, et la femme du révérend, une bigote finie, était l'incarnation de l'hypocrisie, de la médisance et de l'intolérance. Malgré tout, elle se força à sourire.
"Comment allez-vous, madame Lovejoy?"
"Oh, très bien Lisa, très bien, répondit-elle en roulant ses 'r'. Et toi?"
Sans même attendre la réponse de la jeune femme, elle enchaina aussitôt:
"Je suis bien contente de t'avoir trouvée! Ta mère nous a tellement parlé de toi, si tu savais! Aussi, je voulais être la première à..."
Laissant sa phrase en suspens, elle entra précipitamment dans le compartiment, referma la porte derrière elle et se laissa tomber sur la banquette devant Lisa. Celle-ci ne put réprimer un petit cri de surprise : pour une raison qu'elle s'expliquait mal, le chandail de la nouvelle-venue était distendue, comme si sa poitrine à elle aussi avait plus que quintuplé de grosseur pendant son absence.
Mais Lisa n'eut pas le temps de réfléchir davantage à ce mystère : Helen, sans la moindre gêne, souleva vivement le chandail de la jeune femme et agrippa à pleines mains ses deux gigantesques mamelles.
"Oh oui! couina Helen en pétrissant durement la chair de Lisa, ils sont gros, ils sont gros!"
"Aïe! Aïe! Arrêtez ça, lâchez-moi! Vous êtes folle! cria Lisa en tenant vainement de la repousser"
"Allons, allons, Lisa, répliqua l'agresseuse en lui enfonçant encore plus profondément les doigts dans les seins, tout le monde sait que tu te laisses tripoter par toutes les personnes que tu croises!"
Ces paroles pétrifièrent Lisa un instant.
"Quoi?!"
"Tout le monde sait que tu passes tout ton temps à moitié nue à te faire tripoter tes gros seins! renchérit Helen sur un ton fielleux en dévorant des yeux les mamelles qu'elle écrasait entre ses mains. Ta mère nous l'a dit, Lisa Simpson! Ta mère nous l'a dit!"
La dégradante accusation explosa dans la tête de Lisa et la submergea de honte et de peur. Sa mère! Sa mère disait que... Elle voulut se lever, fuir, sauter de ce train avant qu'il n'arrive à Springfield, mais à son premier mouvement, Helen tira violemment sur ses appendices femelles, lui arrachant un cri et la faisant retomber sur la banquette.
Râlant et bavant de plaisir, elle se mit à tordre, à écraser et à étirer les gigantesques outres de Lisa si fort que la torturée crut qu'elle voulait les lui arracher. Helen se mit à crier, d'une voix de plus en plus stridente : "Tes gros seins! Tes grosses boules! Tes gros seins!" Son excitation atteignait son paroxysme, et ses cris mêlés de râles gutturaux devinrent vite assourdissants. Désespérée, sanglotant de douleur et de frayeur, Lisa fit la seule chose qui lui vint à l'esprit : elle aussi plongea les mains sous le chandail de son assaillante, saisit toute la chair qui pouvait tenir entre ses doigts et serra et tordit de toutes ses forces. Les yeux d'Helen se révulsèrent et un puissant cri lui échappa ; au même moment, sa poigne faiblit et Lisa, reconnaissant sa chance, la bouscula et se précipita hors du compartiment en fauchant son sac de voyage au passage. Presque délirante, elle courut tout le long du wagon, ses mamelles endolories mais libres de toute entrave rebondissant dans toutes les directions, la frappant au menton, au ventre et se cognant contre les portes et les murs. Elle ne s'arrêta qu'une fois tout à fait certaine qu'Helen ne la suivait pas.